Onze août 2018. Après la première, voici ma deuxième promenade de l'année auDomaine de la Borde.
Dans le bassin, la grenouille verte (que vous avez vue au début) m'a fait faux bond. Seuls quelques ronds dans l'eau indiquent que j'ai loupé son saut.
Les nénuphars sont plus faciles que les grenouilles à mettre en boîte !
Et les reflets ne s'échappent pas brusquement quand on veut les immortaliser...
..même si une petite grenouille semble nager en plein ciel...
...ou se cacher dans les feuillages.
Quant au Sophora pleureur (Styphnolobium japonicum 'Pendula') il reste bien sagement à sa place...
..même si ses rameaux ont tendance à s'agiter au moindre souffle.
Enfin, voici les limnées que j'ai photographiées le 11 août, voguant entre feuillages et nuées du ciel d'été.
Elles se trouvaient regroupées en grand nombre dans une petite portion du bassin. D'après les informations contenues dans cet article, il y a de grandes chances pour que la reproduction ait été le motif de ce grand rassemblement.
Voici un extrait de l'article en question :
Alors que la plupart des gastéropodes pulmonés se reproduisent généralement par deux en étant simultanément mâle et femelle, les lymnées ne le peuvent pas car leurs orifices génitaux mâle et femelle sont assez éloignés l'un de l'autre. De ce fait, il y a en général, trois individus où celui du milieu agit, à la fois, comme mâle et femelle alors que les deux autres fonctionnent uniquement comme mâle ou comme femelle. Très souvent, les lymnées forment de véritables chaînes flottantes où les individus qui ne sont pas aux extrémités, peuvent être à la fois fécondants et fécondés.
Le ménage à trois (à droite de la photo ci-dessus) est sans doute un exemple du fonctionnement spécifique des limnées en matière d'accouplement.
Si j'avais été au courant de cette particularité (que je viens de découvrir en rédigeant mon billet) j'aurais fait davantage de photos !
Maison du Parc et bassin |
Dans le bassin, la grenouille verte (que vous avez vue au début) m'a fait faux bond. Seuls quelques ronds dans l'eau indiquent que j'ai loupé son saut.
Les nénuphars sont plus faciles que les grenouilles à mettre en boîte !
Et les reflets ne s'échappent pas brusquement quand on veut les immortaliser...
..même si une petite grenouille semble nager en plein ciel...
...ou se cacher dans les feuillages.
Quant au Sophora pleureur (Styphnolobium japonicum 'Pendula') il reste bien sagement à sa place...
..même si ses rameaux ont tendance à s'agiter au moindre souffle.
Enfin, voici les limnées que j'ai photographiées le 11 août, voguant entre feuillages et nuées du ciel d'été.
Elles se trouvaient regroupées en grand nombre dans une petite portion du bassin. D'après les informations contenues dans cet article, il y a de grandes chances pour que la reproduction ait été le motif de ce grand rassemblement.
Voici un extrait de l'article en question :
Alors que la plupart des gastéropodes pulmonés se reproduisent généralement par deux en étant simultanément mâle et femelle, les lymnées ne le peuvent pas car leurs orifices génitaux mâle et femelle sont assez éloignés l'un de l'autre. De ce fait, il y a en général, trois individus où celui du milieu agit, à la fois, comme mâle et femelle alors que les deux autres fonctionnent uniquement comme mâle ou comme femelle. Très souvent, les lymnées forment de véritables chaînes flottantes où les individus qui ne sont pas aux extrémités, peuvent être à la fois fécondants et fécondés.
Le ménage à trois (à droite de la photo ci-dessus) est sans doute un exemple du fonctionnement spécifique des limnées en matière d'accouplement.
Si j'avais été au courant de cette particularité (que je viens de découvrir en rédigeant mon billet) j'aurais fait davantage de photos !
©VesperTilia, échos-de-mon-grenier 2018